Akira L.Smith

-- IDENTITE --

Nom : Smith
Prénom : Akira Laine
Age : 17 ans

Groupe : Spectres
Job : Esprit farceur et sauveuse d'humains à ses heures perdues.

-- DESCRIPTIONS --

Physique : Il faisait nuit sur la petite bourgade du nom d’Hellwood, et tout était calme, seul la forêt semblait s’agiter comme par magie, car même si on entendait distinctement les bruits de conversations et de marches, on ne pouvait voir d’où venait cette agitation. Une jeune femme était assise sur un monticule de rocher, à quelques mètres au dessus du sol, un carnet de note se trouvant sur ses jambes.
Elle était ce qu’on pouvait appeler une beauté mystérieuse, elle ne possédait pas les traits habituels d’un mannequin, ou d’une femme belle. Ses formes n’étaient pas proéminentes et même assise, on pouvait voir qu’elle était de petite taille, 1 m 50 tout au plus. Sa carrure était plutôt athlétique, on sentait qu’elle était plutôt bonne à la course, lorsqu’elle se leva, ce qu’on pouvait remarquer cette sa façon de se tenir, ni trop droite comme I, ni trop molle, comme il le fallait souple. Et c’était d’ailleurs ce qu’elle était, plutôt douée en gym, elle était un vrai petit singe, et avec un peu de chance, on pouvait la voir escalader un arbre ou toute autre chose.
Son corps était recouvert d’un grande cape d’un rouge passé mais qui dans sa jeunesse avait du être éclatant. La cape lui descendait jusqu’aux pieds, mais elle était ouverte sur le devant, laissant apercevoir, un short de coton marron foncé ainsi qu’un débardeur noire. C’est habit était simple, en effet, il était assez difficile de trouver des habits convenables, seulement en coton.
Elle releva alors la tête, celle-ci était assez fine, ovale, un peu allongée vers le menton. Ses lèvres étaient plutôt charnues et noires, ses yeux était au contraire du reste de son corps, vert fluo, c’était la seule chose qui était un colorée. Ses cheveux était coupés mi-long, ils étaient d’un noir corbeau. Sa peau s’illuminait au contact de lune. Elle était d’un blanc neige, sa peau étant presque translucide.
Ses mains s’emparèrent alors de son bloc note, sortant de sous la cape, leur cachette préférée. Elles étaient plutôt longues et assez fines, ses doigts semblaient agiles, de ceux qui effectuent de toute petite tâche, à la loupe pendant des heures, sans montrer une simple fatigue.
Par moment le vent soulevait sa cape, reflétant alors à lune, une lame brillante, un petit couteau, au manche sculpté par sa propriétaire, il y a quelque année. C’était avant tout pour elle, plus un moyen de défense qu’offensif.
Elle arriva alors à la limite des roches, sous ses pieds se trouvaient le vide, et sans crainte, son front juste un peu crispé, elle sauta dans le vide, quelques seconde plus tard, un faible écho se répercutant dans la terre, elle avait atterrit, facilement sur des deux jambes, tel un chat.
Un fois à terre, elle regarda autour d’elle, tout en remettant sa capuche, avant de s’éloigner de l’agitation, qui régnait autour du feu.


Particularité : Un tatouage autour du nombril, un tribal. Et une cicatrice en forme de cœur dans le creux de la paume, suite à une brûlure qu'elle s'est infligée avec Tyan, pour sceller leur amour.

-- BIOGRAPHIE --

La famille : Cela serait mentir de dire, que j’ai une famille soudée et aimante.
Tout d’abord, ma mère, 24 heures après ma naissance, elle avait disparu de la surface de ma vie. Elle est morte 5 ans plus tard, et je n’ai pas pleuré.
Mon père était un homme vaniteux, et qui ne comptait que sur les apparences, il m’aimait bien, enfin je pense, mais pour lui, je resterai toujours la petite bâtarde. Il ne s’est d’ailleurs pas fait prier pour m’envoyer loin de sa vue.
Ma belle-mère était quelqu’un de bien, je suis arrivée à l’aimer. Si j’avais pu, je serais restée près d’elle toute ma vie, rien que pour bénéficiait de sa bonne humeur naturelle.
Mon demi-frère ne m’aimait pas, moi non plus. Point. Je lui en veux toujours, mais moins.
Mon oncle était l’homme le plus méchant et mesquin qui m’a été donné de rencontrer. Méfiez-vous de lui, il sait utiliser le chantage. Mais maintenant il le paye
Ma tante était un caillou à l’état brut, et on ne pouvait pas dire qu’elle avait été polie avec les années. Je sais que son dos lui fait toujours mal, quelle dommage !
Enfin, mon Tyan, celui que j’ai aimé et que j’aimerais toujours… Je donnerai n’importe quoi pour le revoir.

Histoire : Je n’ai pas toujours été comme ça… en réalité si, j’ai toujours été invisible aux autres, même si au début c’était au sens figuré mais cette prophétie s’est tout de même réalisée.
Je m’appelle Akira, Akira Laine Smith, je sais ne vous moquer pas, c’est ma mère qui a voulut m’appeler comme ça, Laine, quelle idiotie… Heureusement pour moi c’est mon deuxième prénom et je m’en sors plutôt bien. Et dire que c’est son seule cadeau, ne pas avoir choisi Laine comme mon premier prénom. Pff… Tout cela me désole.
Mon ancienne vie n’a pas été tout le temps rose, celle-ci non plus d’ailleurs, mais je semble mieux m’habituer à cette dernière… Assez étrange, n’est ce pas.
Je déteste ma famille, celle-ci semble s’être passée le mot, pour m’en faire voir de toute les couleurs. Tout cela a commencé par ma mère, aux premières heures de ma naissance, elle m’a tout d’abord abandonnée dans une décharge, puis est revenue me chercher une heure plus tard, pleine de remord, elle a ensuite décidée qu’il serait bon pour moi de rencontrer mon s***** et elle m’a de nouveau abandonnée, cette fois-ci devant les grandes grilles forgées de la demeure Smith. Me laissant au soin du froid et du vent pour quelques heures encore.
Vous vous demandez peut-être pour quoi ma mère m’a abandonnée, et bien celle-ci était la femme de ménage de mon père, un homme riche, et elle bien sûr, elle était pauvre. Mon mère s’est amourachée de son patron, mais mon père, lui a tout de suite remarqué le postérieur sa femme de ménage. Pendant plusieurs mois, ils ont eu une liaison, dans le bureau de mon père, sur sa banquette. Et cela finit par moi, lorsque ma mère est tombée enceinte, elle l’a dit à mon père, qui l’a mit à la porte, c’était un scandale assuré pour sa carrière politique, bien sur le célèbre sénateur ne voulait pas reconnaître qu’il fait mumuse avec les femmes de ménages, et puis il était marié.
Alors ma mère est parti, contrainte, et pendant 9 mois, elle m’a attendu, ses deux mains posaient continuellement sur son ventre rebondi. Je ne sais pas si elle m’aimée, et je ne le serais sans doute jamais, car elle est morte, 5 ans après ma naissance, dans une ruelle sombre, elle avait fait des mauvaises rencontres, dommage pour elle…
Pour revenir à moi, c’est la cuisinière qui en sortant les poubelles m’a trouvée, grelottante de froid. Elle m’a tout de suite apportée à mon père, qui a plutôt était embêté sur le coup. Il m’a cachait avec l’aide de la cuisinière dans la chambre de celle-ci, le temps de trouvé une excuse ce qu’il a fait. Il m’a confié à la cuisinière en disant sa tendre femme, que j’étais la petite fille de la cuisinière, et qu’il voulait bien me gardait sous son toit et qu’il aiderait celle-ci, mon œil oui, il m’a roulé dans la boue comme tout le monde.
C’était sans compter, le fait que sa femme aimait plutôt les enfants et qu’elle s’ennuyait dans cette grande maison. Cette pauvre femme était condamnée à n’avoir qu’un seul enfant, cela l’attristait elle qui plus jeune avait tant rêvé d’une grande famille. Alors lorsqu’elle a vu ce petit bout de chou, moi, elle s’est dit, je pourrais l’adopter. Mon père a tenté de la dissuader un moment, mais peu lui aussi s’est convaincu que ce n’était pas une mauvaise idée. Et c’est ainsi que je me suis retrouvée dans une famille complète, une mère aimante, un père attentionnée qui ne voulait que mon bonheur et … un frère qui, à oui, le jaloux de la famille. J’avoue que maintenant que je le comprends un peu mieux, mais au début alors que je n’avais que quelques années derrière moi, je n’ai pas compris pourquoi il ne m’aimait pas.
Pour lui j’étais une intruse, dans ce petit cercle familial, je lui volé la vedette, lui avait toujours plus difficulté et moi, du moment que je voulais quelque chose, se quelque chose se réalisait comme par magie. C’est peut-être pour ça que je suis une Invisible maintenant, est-ce-que un jour, j’ai décidé de disparaître aux yeux de tous, ou presque ?
Il me menait la vie dure, et dès que cela était possible, me martyrisait, à sa façon, il ne m’a jamais fait de mal, ou tout du moins pas physiquement, non il s’amusait à casser mes jouets, à arracher les pages de mes livres d’enfants. Plus tard il a commencé, lorsque je suis allée à l’école à cacher mes devoirs que je faisais ou a les abimés, glissant parfois même au détour d’une phrase, une insulte, et je me faisais disputée par ma maîtresse. Je lui ai voulu, je voulais me venger, mais plus subtilement, je m’amusais à faire deux copies, une fausse pour lui et une autre, la véritable pour l’école. Et ça marchait et je riais intérieurement devant sa mine déconfite lorsque je ramenais des 20 à des devoirs où j’aurais du avoir la moitié des points.
Vers l’âge de 10 ans, mon demi-frère a voulu jouer « aux amoureux », il avait alors 14 ans. Trop contente que j’étais qu’il s’intéresse à moi et surtout très naïve, je l’ai laissai faire. Et on nous a surpris, et c’est moi qui est tout pris, je n’ai jamais su si il l’avait fait exprès. Sans doute. Et on m’a envoyé loin de ma nouvelle famille. Mon père et ma belle-mère, enfin surtout mon père avait été très en colère, on peut comprendre pourquoi.
Et c’est ainsi que je suis atterri dans une nouvelle famille. Plus horrible que celle que j’avais pu avoir avant. C’était un couple retraité, ma grande tante et mon grand-oncle était des snob, ils vivaient dans un petit manoir aux abords d’une forêt, dans la petite ville de Hellwood. C’était des gens de la pire espèce, vous savez ce genre de vielle personne qui sont dur presque infâme et qui après vous font culpabiliser de ne pas assez s’occuper d’eux. Ils se sont bien amusés de moi, à mes dépends. M’obligeant à courir de long en large pour chercher une tisane, une couverture plus chaude, un autre oreiller. Cela a été les 7 années les plus longues de ma vie.
Et maintenant que je me rappelle de tout cela, un souvenir me revient, c’était un après-midi d’août, il faisait chaud et ils plaignaient de cette chaleur, me demandant alors si je ne pouvais pas faire un peu de vent pour eux, petit-vieux désespérés et desséchés. Ce que j’ai fait, juste avant de sortir de la maison, tout en criant que j’en avais marre de tout cela, que je préfère ne pas exister, ne pas vivre cette enfer, ou tout du moins rester invisible aux yeux de mon grand-oncle, et de ma grand-tante, pour ne plus m’obliger à me plier en quatre pour leur volonté. Je me demande si tout cela ne s’est pas réalisé parce que je me suis emportée cette après-midi d’août.
Je me suis très vite retrouvée à l’écart de tout le monde, n’ayant presque qu’aucun avec le monde extérieur. Mes « parents » venaient me voir de temps à autre, plutôt rarement, et c’était pour moi presque un miracle quand je les voyais. J’étais seule, et cela me pesée, je ne supportais plus cette éloignement avec les autres. Ma grand-tante, la pire des deux, m’interdisait de descendre au village, elle ne voulait pas que je la quitte, ayant besoin de moi à cause de ce dos qui la taquinait.
Il y eu quelques rayons de soleil dans ma vie, bien sûr, mais c’était rare. Le plus important a été sans doute la rencontre d’un jeune garçon de mon âge Tyan. Je l’aimais, et je l’aime toujours. Il était l’être le plus doux et le plus attentionné, qu’il m’avait été donnée de rencontrer. Cela aurait put marcher entre nous, si ma tante n’avait pas été là et si il n’était pas parti quelques mois après notre rencontre.
C’est à ce moment là que j’ai vraiment sombré, je me suis retrouvée seule, mais ce coup-ci, vraiment seul, mon cœur m’avait quitté, lui aussi. Comme tout le monde. Je détestais être seule, je pleurais chaque jour un peu plus, recroquevillée dans mon lit, dans ma chambre aménagée au grenier. La seule consolation que j’avais été le dessin, je dessinais chaque jour, m’inventant à travers mes dessins une nouvelle vie.
Les années passèrent, Tyan était parti alors que j’avais 15 ans. Deux ans plus tard, il m’est arrivé quelque chose encore plus bizarre que toute celle que j’avais vue jusqu’avant. C’était un matin, et comme tous les matins, je préparais le petit-déjeuner pour mon oncle et ma tante. Cela a commencé par le facteur, qui ne m’a même pas saluée comme tout les matins, puis mes grands-parents, qui se sont demandé où je me trouvais, j’ai tenté de leur parler, mais ils ne comprenaient pas, ils ne me voyaient pas. J’ai cru à un de leurs nouveaux jeux, mais non, ils semblaient vraiment effrayés. Et lorsque je suis montait dans la salle de bain, je ne me suis pas vue dans la glace, j’ai vraiment eu peur à partir de ce moment là, quand j’ai voulu m’habiller ma chemise en soie a flotté dans les airs, enfin, je la portais, mais seule cette chemise se reflétait dans la glace. Des larmes ont commençaient à perler le long de mes joues, je me suis cru morte, et je suis même allait vérifier si mon corps ne se trouvait pas encore dans le lit, mais non. Je ne passais pas non plus à travers les murs, et mon corps était encore solide. Alors j’ai fui, je me suis cru folle, jusqu'à ce je tombe sur une jeune femme, et qui m’a tout expliqué de ce qu’elle savait sur ça. Sur les Invisibles…
Il a fallut aussi que j'explique ma disparition, rien de plus simple, une fugue et un simple morceau de papier.
Au début, tout cela m’a semblait irréel, et j’ai mis du temps à comprendre que ce n’était pas une blague, ni un cauchemar.
En réalité, tout cela était plus cool, je m’amusais bien, ma plus grande préoccupation était d’embêter mon oncle et ma tante, il me devait bien ça…
C’est ma vie, et je la trouve plutôt risible… pas vous ? Ma vie n’a été qu’une succession de malheur…

Caractère : Je ne sui pas du genre à être lunatique. Si je suis en colère, je le suis et hors de question pour moi de sourire ou de montrer un quelque conque signe de joie, et cela en va de même pour ma bonne humeur, si cela m’arrive c’est pour toute la journée, et tant pis pour tous les soucis, on verra cela plus tard.
J’aime avancer voir le futur, mais quelque fois, j’ai des sortes de raté, et comme un CD rayé, je passe en boucle le même événement. Toujours le même, celui-ci me suit comme la peste, et impossible de m’en débarrasser, c’est un peu dur des fois, mais c’est comme tout, il y a surement des personnes qui souffre plus que moi quelque part sur cette planète.
J’ai ce qu’on pourrait appeler un esprit assez perspicace, j’arrive la plupart du temps à cerner la personnalité rien qu’en les observant ou en leur adressant la parole. Je ne suis pas bête, pour autant je ne suis pas savante, mon QI est au dessus de la moyenne de la population, sans pour atteindre les sommets.
J’ai un caractère assez fort, mais il m’est arrivé d’être un peu naïve plus jeune, pour mon plus grand malheur. Je déteste l’injustice, pour moi personne ne devrai payer les erreurs des autres, lorsqu’on failli à la tâche, on assume, point.
Je ne suis pas du genre à avoir un cœur de pierre, je ressens tout ce que les autres ressentent, j’éprouve même de la compassion à leur égard, mais pourtant je ne les aiderai pas, car personne ne m’a aidée dans les moments les plus difficiles. Je suis une grande émotive, il m’arrive de pleurer de joie pour rien, ou au contraire de fondre en larme de rage.
J’ai mon opinion sur tout et rien, je ne me laisse pas influencer, si je décide que cela sera comme et bien cela sera ainsi.
Je suis toujours restée solitaire, au début, cela m’a été imposée, et puis au fil des ans, je m’y suis habituer, pas à rester seule, oh non, je me suis habituée à l’idée d’être insignifiante pour la plupart du reste du monde, que personne ne me remarque et ne s’intéresse à moi. C’est toujours aussi pesant, mais peut-être un peu moins maintenant. Surtout depuis que j’ai quitté le monde normal, pour cet état d’invisibilité.
Je n’ai jamais eu de meilleurs amis, j’ai bien sur eu des copains, copines, comme tout le monde, mais dans la cours de l’école, j’étais plutôt du genre à rester seule sur un banc, à observer les autres jouer entre eux. Le seul garçon avec qui j’ai une relation amoureuse, a été Tyan, malheureusement comme à chaque que quelque chose me tiens à cœur, tout se détruit et il a été contraint de partir à l’autre bout de la planète…
Vous vous demandez pourquoi j’ai choisi le camp des Spectres, hasard forcé peut-être. La première invisible que j’ai rencontrée à été une Spectre, c’est elle qui m’a expliqué tout sur ça, cette nouvelle vie, et je me suis liée d’amitié avec elle, alors, impossible pour moi d’aller dans le camp ennemi. Et puis, j’ai décidé qu’il était temps de m’amuser, et je n’ai pas eu envie de sauver les autres, enfin tout du moins en faire mon occupation quotidienne. Je trouve que c’est tellement plus marrant de jouer des tours aux humains normaux, en particulier à ma tante et mon oncle. Malgré tout, il m’est arrivé de sauver à plusieurs reprises les humains, d’une chute, d’une coupure, ou ce genre de chose, mais je tiens tout de même à rester dans le camp des méchants. Enfin pour un moment, car je sais que je me lasserai vite, et il se peut qu’un jour j’aille vers les chimères, même si j’aimerais voyager… Disons que je suis une gentille méchante!

Et voilà, je crois avoir fini

Je tenais à vous dire bravo pour le design, je l'adore
Est-ce-que quelqu'un est doué en graph', car j'aimerai que les yeux de mon avatar soient verts, mais je n'arrive pas à donner un résultat convaincant.

Merci beaucoup .

Félicitations, je me sentais un peu seule chez les Spectres, ça fait plaisir de voir un peu de soutient,

Pour les yeux, je t'aurais bien fait ça, ça ne me prend pas longtemps, mais le souci c'est que je ne serai chez moi que demain, donc... il faudrait attendre.

Sinon la fiche est validée.

Je te fais un essai sur les yeux ça devrait pas être long (je vais d'ailleurs créer un sujet pour ça ce sera plus propre ^^)

Il y a déjà un sujet de demande d'avatars dans la section Blablatage

Oui et j'ai posté là-bas ^^

Merci à vous 2!!